Abstract: Tout au long de l’histoire, la traduction a été victime de plusieurs discriminations pour ne pas être un travail considéré créatif. Par conséquent, cette activité a été marginalisée et réservée aux femmes dont ont doutait des capacités créatrices. Le but de cette étude est d’élever le travail qu’ont exercé ces traductrices. Dans ce but, nous allons étudier la figure de Mathilde Pomès (1886-1997), importante femmes de lettres en tant que divulgatrice la culture espagnole en France. Par la suite, nous allons faire une analyse de deux de ses traductions, La muerte es bella de Juan Ramón Jiménez et Luz de la noche de Pedro Salinas.